Présentation de l'association

Tout sur l’aventure Compostelle par les chemins Catalans

Informations pratiques sur l’association et la randonnée

  • Composition conseil d'administration

  • Statut de l'association

  • Règlement Intérieur

    Le présent règlement intérieur a pour but de compléter les statuts, de préciser les règles de détail ou les dispositions sujettes à modifications fréquentes concernant les modalités de fonctionnementde l’association. Il a été approuvé le 18 janvier 2020  par l'assemblée générale ordinaire.


    Cliquer ici pour télécharger le réglément d`intérieur

  • Témoignages - POUR LES AMIS DE SAINT JACQUES MARCHER

    POURQUOI ?

    Le 13 Novembre 2010 j'ai abandonné mes oliviers, récolte finie. Mes 80 ans n'ont pas réussi à m'user et vous savez que ma position n'est pas de rester assis dans un fauteuil.

    De temps à autre il faut s'évader, respirer ailleurs et partager avec d'autres l'espace, le temps, la vie.

    Un jour la chance de marcher disparaîtra. Alors avec 20 marcheurs j'ai parcouru 250 km en 10 jours de Mérida à Cordoue. Cette marche s'est terminée par un colloque de 2 jours avec des musulmans, des juifs et des chrétiens dans un but de réconciliation et de paix, en ces temps si troublés, comme vous le savez, où certaines idées et certains clans fanatiques font régner la peur, la guerre et la mort.

    Ici je laisse de côté le but de notre marche pour m'entretenir avec vous de la marche en elle-même, de ce qu'elle m'a apporté, et de ce qu'elle peut vous apporter si vous avez encore l'occasion de marcher sans rhumatisme. Ce fut une marche de rencontre, de dialogue, de silence, d'écoute, de découverte, de partage, de vérité, d'humilité et de joie fraternelle.

    LA MARCHE C'EST D'ABORD LA RENCONTRE avec vingt autres personnes venant de différents horizons, venues de Suisse, de Grenoble, de Toulouse, de Paris, de la Réunion et de Saint Estève, trois ayant déjà accompli 850 km en venant de Saint Jacques de Compostelle, tous intrépides et voulant aller jusqu'au bout.

    Ce qui les motivait, c'était le désir de sortir de l’intransigeance pour aller vers la tolérance, se dépasser pour aboutir à la paix entre les religions et les hommes de tous pays. Leur marche était pour tous, le symbole d'une porte ouverte vers un monde meilleur.

    Et cette marche commençait par l'ouverture du cœur de chacun racontant son chemin de vie avec le désir de changer quelque chose dans leur vie car si nous ne changeons rien en nous, nous avons tout perdu pour l'existence de ce monde.

    MARCHER C'EST ECOUTER SON CORPS EN FAISANT SILENCE

    Par un matin ensoleillé, les uns derrières les autres, nous formions une chenille humaine.

    Durant vingt minutes, cette chenille dirigée par notre chef de groupe André s'avançait lentement, en silence, les yeux fermés, chaque pèlerin s'appuyant sur le sac du voisin de devant écoutant les réactions de son corps.

    D'autres matins nous apprenions à bien inspirer et expirer à chaque pas. La part de silence éveillait en nous l'être ultérieur qui nous relie à toute transcendance.

    Lors d'une courte pause imaginez 20 pèlerins figés dans la brume matinale, dans le silence et au milieu d'un paysage biblique entre chênes et oliviers, sous un eucalyptus, Michel de Toulouse, notre musicien, jouait avec sa flûte à bec une cantate de Bach. Il ne manquait que les moutons pour un décor de crèche. Quel bonheur !

    Marcher, c'est le corps qui vous invite à l'humilité quand certains ont la surprise d'avoir mal aux articulations, d'autres de devoir soigner des ampoules... et pour tous, car le corps est faible, un besoin de repos et de bien dormir.

    MARCHER C'EST FAIRE DES EFFORTS

    C'est aller plus loin, c'est dépasser les bornes, les kilomètres, les frontières, de France en Espagne, de l'Estrémadure en Andalousie, c'est passer outre nos peurs, aller vers l'incertitude. . .C'est aller d'une colline à une autre et pour nous mettre à l'épreuve, c'est de supporter la pluie, patauger dans la boue, ou, quand le chemin était transformé en rivière, le traverser pieds nus, pantalons et pèlerines relevés et arriver le soir, crottés, dans un gymnase pour nous y reposer.

    Marcher c'est aller à contre courant de cette société de consommation, invités à nous dépouiller, à ne porter dans notre sac que l'essentiel, à ne pas avoir le confort de nos maisons et de nos transports quotidiens, unis a tous ceux qui en Asie, en Afrique font des milliers de kilomètres pour manifester et dire leur droit de vivre. Mais nous étions encore loin de leur dénuement avec la carte bancaire dans nos poches.

    MARCHER C'EST ALLER A LA RENCONTRE DE LA NATURE.

    C'est prendre le temps qui vient à nous : soleil, pluie, vent froid.

    En marchant c'est le temps qui nous accompagnait, c'est la lumière du soleil qui offrait des couleurs multiples. Nous parcourions les grandes étendues d'oliviers encore chargés d'olives, des champs de blé tendre où sont enracinés de vieux chênes verts qui laissent tomber leurs glands pour nourrir les porcs de la région.

    Marcher c'est aller vers l'horizon et disparaître à l'horizon. C'est se fondre avec la terre. C'est revenir à nos origines, car nous appartenons à la terre. On en a marre du goudron !

    En marchant, nous nous éloignons de la société de robotisation, nous retrouvons la nature vivifiante, dans la paix, le calme, loin de tout bruit et du désordre.

    Marcher c'est relever la tête, contempler les étoiles, voir le soleil se lever et révéler nos visages, conscients que nous devenons les fils du jour, fils de la lumière, nous n'appartenons plus aux ténèbres. C'est se fondre dans l'infini et nous poser des questions : d'où venons nous, où allons-nous ?

    MARCHER C'EST PARTAGER.

    Chaque jour nous avions à partager entre nous le pain, l'eau mais aussi les pommades pour soigner ou soulager nos jambes, nos pieds. Mais aussi, une nuit, faire une place dans la tente dressée par les militaires et nous serrer les uns contre les autres dans nos sacs de couchage à 750 mètres d'altitude.

    Marcher c'est s'attendre, marcher au rythme des autres, avec sollicitude, c'est avoir besoin des habitants dans les villages ou nous passions : gens admirables d'accueil pour nous loger. Comme cette dame souriante qui a ouvert sa maison, fait un grand feu pour sécher nos habits trempés et nous offrir des parts de melon. Les musulmans venus de Tanger et les scouts musulmans de Cordoue et de Paris partageaient nos différences, nos diversités. La marche

    nous apprenait ainsi la dimension universelle.

    Arrivés au pont romain, au pied de la Tour de Calahorra, prés de la Mezquita, nous pleurions de joie. Je conclue en vous disant : Amis, si vous voulez réapprendre à vivre, à vivre Ensemble, « Levez vous et partez ! Marchez vers les autres, avec les autres, même si vous avez 80 ans ».

    HEUREUX SEREZ VOUS.

    Michel ASSENS Bénévole des P.O. - 80 ans en ce jour de gloire du 11 février 2011

    TEMOIGNAGES

    C’est un long chemin semé d’étoiles, de kleenex et de pansements.

    Je prend vraiment conscience de la longueur du chemin lorsque , après être parti de Saint-Jean Pied de Port 5 h plus tôt je passe devant la borne située près de la fontaine du col de Bentarte , une très jolie borne avec une coquille et une inscription : Saint –Jacques de Compostelle 765 km. Je lis cette inscription l’esprit un peu vide et dubitatif. Ca me laisse la même impression que l’aspect de mon crédential : un grand carton plié en accordéon , pratiquement vierge avec seulement un premier tampon au coin de la première page.

    Le lendemain à Lorrasoana , les jambes douloureuses , je me dis que j’aurai sûrement encore assez de forces pour rallier Pamplona et prendre le train pour rentrer à la maison.

    A Cizur Menor je me souviens des paroles de Guy : « Si vous ne pouvez pas entreprendre tout le chemin , marchez une semaine et arrivez jusqu'à Logrono . « C’est cela; si j’arrive jusqu'à Logrono je ne serais pas trop ridicule.

    A Santo Domingo de la Calzada ça commence à aller mieux , je me fixe Burgos comme prochain objectif à atteindre.

    A Burgos certains s’arrêteront remplacés par d’autres qui reprennent un pèlerinage fragmenté. Ca ne va pas trop mal et j’ambitionne désormais d’arriver au moins jusqu'à Léon.

    A Léon, plus de la moitié du chemin est fait. L’hospitalero français du couvent des sœurs bénédictines nous déclare : « Vous avez fait le plus long du chemin, pas le plus difficile mais le plus long. » Je m’interroge et n’arrive pas à savoir si ces paroles sont rassurantes ou inquiétantes. Quoi que puissent être les difficultés à venir, je m’estime alors capable d’arriver jusqu'à Pontferrada.

    Passé Villafranca del Bierzo ça grimpe vers ce qui est présenté comme la dernière difficulté du parcours : l’ascension du Cebreiro. Un kilomètre avant le sommet une borne joliment décorée m’indique que je rentre en Galice. Enfin la Galice! Désormais l’objectif c’est Santiago. Ce serait trop bête d’arrêter maintenant pour venir finir le chemin l’année prochaine et de devoir en plus subir une nouvelle fois les souffrances de la première semaine de marche.

    Après Arzua, une stèle rappelle qu’un pèlerin est mort sur le chemin à une journée de marche de Santiago. Santiago, le bout du monde pour les pèlerins du moyen âge dont je suis fier d’avoir suivi les traces .

    Claude

    800 Km en poussette pour voir l'apôtre Jacques

    Une parole est une parole! Le petit Martin est arrivé dans notre couple après 7 années d'attente.

    Nous avions fait le voeu de l'amener dans sa première année voir l'apôtre Jacques à Santiago et cela à pied et en poussette, bien sûr nous avons tenu parole.

    Nous faisions en moyenne 26 km par jour. Les chemins sont escarpés, grosses descentes et sympathiques montées. Il faut dire que nous avions nos sacs à dos à porter mais aussi 25 kg à pousser (Martin, couches, eau, poussette...) Martin réagissait bien et, si quelques pèlerins ont eu peur de passer de mauvaises nuits en voyant débarquer un bébé dans les auberges, ils ont vite été rassurés. Martin est rapidement devenu "la estrella des camino (l'étoile du chemin)" comme l'ont appelé de nombreux pèlerins....

    Grosse montée à la "Cruz de Ferro (croix de fer)", à 1490m d'altitude où chaque pèlerin apporte une pierre. Nous y avons déposé deux pierres: une du Canigou et une de l'église Saint Martin de Corsavy.....

    Martin, en grande forme accepte tous les cadeaux des gens que l'on rencontre: sucette, crêpe, biscuit, fromage, yaourt, oeuf frais .... Il crie "ola (bonjour)" au pèlerin de passage, il faut dire que c'est son premier mot, avant même papa ou maman!

    Il reste 5 km à faire, nous sommes le 16 Août. Dès 8h le matin, nous sommes devant Saint Jacques le grand, grosse émotion, nous lui confions nos prières.Quel périple, petit Martin a été extraordinaire, il s'est parfaitement adapté. Nous lui ferons passer les souvenirs à travers les photos et nos récits et peut-être qu'à son tour, dans quelques années, il fera lui aussi, à pied, ce merveilleux voyage!

    Une montée à Saint Jacques de Compostelle

    Parti le 17 juin 2001 de Baixas, près de Rivesaltes dans les Pyrénées Orientales, je suis arrivé le 3 août à Saint Jacques de Compostelle après un cheminement de près de 1500 kms passant par quatre cols à 1500 m d’altitude. Une première montée m’a conduit en Cerdagne par la vallée de la Tèt. Le temps fort en sera l’étape au monastère de Saint Michel de Cuxa : “Ora et labora.”.

    La seconde montée aboutit au monastère de San Juan de la Peña en passant par l’Urgell et les pays arrosés du piedmont catalan. Ce fut le temps des épreuves du chemin, douleurs et fatigue, soleil et orage, faim et soif, solitude et égarement.

    “ Marche, tu es né pour la route, celle du Pèlerinage.

    Un Autre marche vers toi et te cherche

    pour que tu puisse Le trouver.”

    La troisième montée s’étire jusqu’au monastère de Samos dans la poussière, le soleil et le vent. Elle passe par le Camino aragonese, la Navarre, la Rioja, la Castille, les monts du Leon, le Bierzo et le Cebreïro. C’est le temps de la prière sur ce chemin de spiritualité, patrimoine multiséculaire de l’Humanité tout entière.

    “Soyez parfaits comme votre Père du ciel est parfait” Matt. 5,48

    La dernière montée mène au Sanctuaire de Saint Jacques dans les brumes celtiques de la Galice, en suivant des chemins creux bordés de calvaires et de pierres levées, au milieu de forêts de pins et d’eucalyptus. C’est le temps de l’arrivée, le temps de toucher le pilastre du portique de la Gloire du Christ Jésus.

    “ Je suis le Chemin, la Vérité, la Vie. Personne ne va au Père sans passer par moi.”

    C’est aussi le temps du retour vers “ la Jérusalem d’en bas” avec une certitude acquise sur le

    chemin et chantée au monastère de Leon :

    “Peregrinos, A donde vas ? Solo el, mi Dios que me dio la libertad solo el, mi Dios, me guiara.”

    Georges

    Marcher sur le Chemin

    Marcher sur le chemin, c’est mettre nos pas dans ceux des millions de pèlerins qui, depuis mille ans, nous ont précédés. C’est, comme eux, venus des fins fonds de l’Europe, découvrir que nous partageons les mêmes valeurs. C’est suivre les mille ramifications sur lesquelles les hommes ont été porteurs des rêves les plus fous, des savoir-faire les plus divers. Le chemin, c’est aujourd’hui comme hier, l’arbre autour duquel se bâtit l’Europe de la tolérance, celle des différences et celle de la fraternité. Marcher sur le chemin, c’est s’émerveiller des premiers frémissements de l’aurore, de la rosée qui rafraîchit, du porche qui protège. C’est taquiner l’écureuil, surprendre la biche dans le sous-bois, s’écarter pour éviter la vache qui somnole. C’est échanger un sourire, un bonjour, un hola, c’est donner de l’eau à celui qui n’en a plus, c’est encourager celui qui n’en peut plus. Le chemin, c’est louer Dieu pour la blancheur immaculée de la neige, le premier rayon de soleil après l’orage, l’immensité de la maseta, la splendeur de l’océan. Marcher sur le chemin, c’est voir les paysans, ceux de l’Aubrac et ceux de la Galice, retourner la terre de leurs ancêtres et recueillir le fruit de leur labeur. C’est échanger dans la langue du chemin les espoirs, les regrets, les joies, les peines, c’est ensemble énumérer les kilomètres. C’est se dire d’où l’on vient, où l’on va, pourquoi on est là, pour qui on prie, à qui l’on songe, de quoi l’on souffre. Le chemin, c’est enfin tous ces gens qui avancent, que chaque soir on retrouve, ce sont ces amis comme Alain, Philippe... et bien d'autres.

    Ce qui m'a plu tout au long du parcours, c'est cette amitié qui se dégage entre gens ne parlant pas la même langue; c'est vrai, on partage la même chose, on est tous frères.

    Michel A.

  • Conseils pour la santé

    BON PIED (surtout) ET BON ŒIL SUR LE CHEMIN DE COMPOSTELLE

    Marcher est excellent pour la santé mais le pèlerin peut quand même rencontrer quelques difficultés. Le mieux est de prévenir.

    PREVENIR LES COUPS DE POMPE :

    Alimentation riche en sucres lents, sans oublier les fruits et les légumes. Surtout boire au moins 1,5 litre l'eau par jour, ce qui est la meilleure

    prévention de la redoutable tendinite. On conseille de prendre un peu de magnésium pendant la première semaine du pèlerinage (par exempte,

    2 comprimés de magné B6 le soir. On peut en reprendre en cas de coup de pompe sur le chemin).

    PRENDRE UN SOIN PARTICULIER DE SES PIEDS

    • 1- Avant le départ : plus le sac est lourd, plus les articulations des pieds « trinquent ». Eventuellement, revoir son podologue si l'on a déjà eu des semelles

    orthopédiques, frictionner ses pieds avec du jus de citron 1 a 2 fois par jour pour les raffermir.

    • 2- Pendant le pèlerinage : lors des principales étapes pendant la marche, se déchausser pour se rafraîchir les pieds et, éventuellement, appliquer une crème anti
    • frottement (Akiléine ou Nok-sport). A l'étape du soir, continuer les frictions au jus de citron et avec la crème anti-frottement. Faire quelques exercices

    d'assouplissement des chevilles.

    Faut-il rappeler que l'on doit emporter un éventuel traitement et aussi l'ordonnance pour permettre son renouvellement au bout d'un mois. (J'avais emmen é 3 mois de

    traitement ayant constaté précédemment que les pharmacies n'ont pas toujours le médicament disponible).

    Nous préparons nos pieds 8 jours avant le départ et nous n'avons pas marché pendant cette période. Mais là aussi : A CHACUN SON CHEMIN ! ULTREIA.

  • Bulletin d'adhésion

    Cliquer ici pour télécharger le bulletin d'adhésion (Année civile 1 janvier - 31 décembre)

Calendrier des activités

  • SORTIES MENSUELLES de RANDONNEES du SAMEDI et du DIMANCHE COVOITURAGE

    Rendez-Vous pour le covoiturage avenue Victor Dalbiez à Perpignan parking face à l'école

    Élémentaire Marie Curie – Jean Zay - derrière l'EDF.

    (Entre l'Allée de Bacchus et le lycée privé Sainte Louise de Marillac)

    Le prix du covoiturage est fixé à 0,05€ le km dans la limite de 5,00 € l'aller retour

    Afin que tous les conducteurs soit équitablement défrayés nous mettons en place le calcul suivant :

    Nombre de participants multiplié par la somme du covoiturage divisé par le nombre de véhicules

    Exemple : 11 (participants) X 3€ = 33€ / 3 (véhicules) = 11€ par voiture

    A NOTER : Les renseignements des sorties (distance, durée et difficulté) du samedi et du dimanches ne seront

    confirmés qu'après avoir effectué les reconnaissances. Des modifications pourront être opérées dans le programme.

  • IMPORTANT

    Pour chaque randonnée (Samedi et Dimanche) il est impératif de s’inscrire auprès de l’animateur

    responsable de la sortie (mettre en copie le président aspres66 @orange.fr // 06 73 34 29 92) pour le covoiturage

    mais également pour la randonnée, afin que celle ou celui ci puissent connaître le nombre de participants.

  • CONSIGNES

    • Toute personne qui participe aux sorties pédestres doit être en mesure d'effectuer la distance et le dénivelé qui lui

    a été communiquée auparavant, elle doit aussi être habillée et chaussée en conséquence, respecter les consignes

    de l'animateur responsable de la randonnée, ne pas prendre un autre chemin que celui fixé au départ par les

    organisateurs, et être obligatoirement en possession de sa carte d’adhérent ou figure au dos les renseignements

    importants ainsi que de sa carte VITALE.

    Si ces consignes ne sont pas respectées la personne ne sera pas acceptée aux sorties mensuelles de randonnées

    En outre tous les participants doivent être en bonne condition physique, ne pas suivre de traitement médical

    pouvant interdire la marche.

  • CONFÉRENCES

    Le vendredi 18h00 à la maison des sports du Conseil Départemental

    rue Dugay Trouin 66000 PERPIGNAN

    (Secteur moyen Vernet)

    MERCREDI THÉ OU CAFÉ :

    (Sauf infos contraire)

    15H00 Les 1er mercredi du mois à la Maison du Pèlerin 6 rue FOCH PERPIGNAN 66000

  • CALENDRIER ACTIVITÉS 1er TRIMESTRE 2024

Hébergement pèlerins

La maison du pèlerin à Perpignan au 6 rue Maréchal Foch

Une permanance est assuré jeudi apres midi   14h30 à 17h30

Crédential et pièce d'identité obligatoires


En dehors des heures et jours d'ouvertures il faut téléphoner au préalable afin qu'un bénévole vienne ouvrir le gîte :

tel :  06 73 34 29 92

Share by: